Dans ma tête

Encore une année de passée

Bon vous commencez à connaitre mon fonctionnement, comme les enfants, la fin de l’année et les bilans et les résolutions c’est avec l’été que ça vient.

J’ai commencé cet article-bilan, le 30 juillet… J’ai écris, j’ai écris… puis j’ai traîné, j’ai traîné… Pourquoi ?!

Et bien, j’étais un peu chafouin, je ne vous le cache pas.

La saison s’est achevée en demi-teinte pour moi, et après, tout un tas d’émotions (souvent contradictoires) se sont engouffrées dans mon cerveau…

Installez-vous bien, prenez un café, un thé, un mojito, ça risque d’être long et tout fouillis, mais croyez-moi, ça vaut le détour, parce que du coup, j’ai pleins de petites nouveautés pour vous !

Il était une fois le mois de mai :

Après un séjour difficile au Grau du Roi entre pression d’ouvrir le festival, grognasse mal intentionné pendant mon shooting et Gremlins qui s’est mit a danser la lambada, je suis restée plus d’un mois complètement à plat, sans pouvoir rien faire, sans avoir trop envie de communiquer avec qui que ce soit (c’est encore un peu le cas ceci dit).

Je n’ai même pas fait le spectacle de fin d’année de mon école de danse, et je dois confesser que cette décision m’a soulagé.

J’avais du mal a intégrer la choré, je n’avais pas la force (ni l’envie réelle) de m’y mettre, ni de me replonger dans « du groupe » après la Kenouz Compagnie et ses « aventures » ().

Et puis mon bidou ne me laissait clairement pas le choix.

Pour l’anecdote, je devais aller voir les filles danser, j’ai lutté pour ne pas faire de sieste (je vomis et je dors beaucoup (sauf la nuit sinon c’est pas drôle) quand je suis en crise, c’est que c’est drôlement épuisant la lambada) mais j’ai fini par sombrer et ne pas me réveiller à temps pour être à l’heure au théâtre.

Il était deux fois : juin et début juillet :

Généralement, qui dit fin de saison dit dernières de spectacles.

Cette année 2 qui comptent beaucoup. Grease et Priscilla Folle du Désert. Et bien figurez vous que je ne suis allée a aucune des deux.

Et pourtant, vous savez à quel point ces deux spectacles ont compté.

Mais la raison l’a emporté sur la passion (#c’estmochedevieillir).

Je ne me reconnaissais plus dans l’approche que mon groupe de « camarades » et moi avions envers les spectacles et les artistes qui leur donnent vie.

J’en avait marre de « faire le trottoir«  [comprendre attendre devant une porte, sur un trottoir, parfois sous la pluie, parfois il fait froid, parfois il fait chaud, un regard ou une marque d’attention d’un « gens »].

Mon approche du spectacle et des artistes (et des gens en général) est simple et se résume en quelques mots : inspiration, émotion, création, communication, partage.

Mais dès lors que j’ai fait le tour, que je suis allée au bout d’une histoire, ou que je ne me reconnais plus dans les valeurs d’une personne ou d’une activité, il faut que cela cesse…

Enfin, ça c’est la théorie…

Mais en pratique… tu sais le fameux effet de groupe :

« mais viens moi c’est ma dernière » « oui mais aujourd’hui machin remplace bidule dans le rôle » « ah mais ils ont changé un tableau entier de chorégraphie » « ah mais en fait ce soir j’ai rien d’autre à faire » »j’ai pas réussi à faire la photo que j’ai tant envie de réussir » »j’ai pu t’avoir une invit » … bref y a toujours une mauvaise raison d’y retourner encore et encore.

Pour Grease, l’approche a tout de suite été très différente, car « professionnelle » grâce à bébé blog.

Donc je n’ai pas voulu, être associée ni à une groupie, ni aux comportements qui pourraient le laisser croire.

Certes il y avait énormément de gens que j’admire et adore sur ce spectacle, mais on a pas eu besoin de se voir 48 fois à la sortie des artistes pour vivre des échanges intéressants et passionnants.

Mais PriscillaEn un an, une espèce de tourbillon s’est créé et je n’ai rien vu arriver…

Enfin si, je l’ai vu arriver, mais je me suis dit que cette fois ce serait différent, que j’allais maitriser le truc. Mais depuis quand maîtrise t-on une addiction ?

Car c’est bien de cela qu’il s’agit, une addiction.

Une addiction aux spectacles, à l’art certes… mais pas que…

C’est une addiction aux paillettes, au spectacle, au bien-être que procure les regards, les sourires, peut-être même à la reconnaissance et à l’attention qu’on nous accorde… même si tout ça n’est que « commercial ».On va pas se mentir, les vraies affinités et les vrais amitiés sont rares, mais pas plus rares que dans la vraie vie, nous sommes tous des êtres humains… C’est juste un peu plus, superficiel et échange de bon procédés…

Bah oui, on est leurs clients à ces petits gens là, et c’est bien connu le client est roi… Mais le client abuse…

Et puis on rencontre de nouvelles personnes. On les croit différentes. Oui, on est aussi addict aux rencontres humaines qu’artistiques, c’est l’occasion de rencontrer des gens qui aiment les mêmes choses que nous, et qui crient à qui veut l’entendre qu’il ne sont pas des groupies (#notepourplustard : c’est celui qui dit qui est…) ! Mais bien vite les mêmes travers refont surface et il n’y a pas un pour se montrer plus raisonnable que l’autre.

Et là tout repart comme en 40 (enfin 2015).

On parle d’eux toute la journée, connectées H-24 avec les réseaux, Messenger etc…

« mais t’as vu la story de machin » « et le nouveau post de chose » « aah truc et bidule ont passé la journée ensemble je suis sûre qu’il se passe un truc entre eux » « ahhhhh trop bien Trucmuche à mit un cœur sous ma photo » »faut que je leur trouve un cadeau » »aaaaaaaaah il a répondu à mon message !!! » « Quoi ??? MOI??? UNE GROUPIE ??? »

Et la course à qui fera le plus de photos, qui les donnera en premier, et les cadeaux, et on devient déraisonnable… mais on croit encore qu’on pourra s’en sortir…

Et lentement, ces travers qu’on arbore fièrement deviennent étouffants.

Pour les artistes, pour les techniques, pour notre entourage, dont on fini par se couper peu à peu en fait, bah oui, on est jamais dispo, et pour nous, mais à ce stade, on ne le sait pas encore…

Pire, parfois, dans la tête des unes ou des autres tout se mélange, la vie privée et artistique, le personnel et le professionnel… le vestimentaire… (ne pas confondre style et garde robe). La frontière est alors très mince entre admiration et intrusion.

Note à moi-même : une groupie est une groupie même dans la vraie vie.

Surtout dans notre monde ultra connecté. Surtout quand les sus-dits artistes nous donnent l’habitude de communiquer beaucoup.

C’est alors tentant de laisser vagabonder l’imaginaire et croire alors qu’on fait partie de leur vraie vie (et de l’étaler bien évidemment… « comment ça dans message privé y a  privé ?! »)

Personnellement, n’ayant pour chouchous quasiment que des Ronchonchons peu prolixes (on a rarement vu Sardou liker une photo de lui sur Instagram), je n’ai pas trop connu cela, ouf, car pour l’avoir vu chez d’autres c’est assez déstabilisant pas beau à voir.

Surtout quand on donne l’habitude aux « copines » de répondre tout le temps, et à tout.

Je suis pas le genre de nana à passer des heures au téléphone, je préfère de loin les messages, et encore… y a des moments où on a simplement pas envie de parler, ni de raconter ce qui va ou ce qui va pas.

Et puis,  je tiens à ma tranquillité et que je déteste me sentir envahie, harcelée, « intrusiver »…

« oh tiens elle est jolie ta déco, je peux la prendre en photo ?! » « ah bah tu répondais pas à mes messages alors je suis venue directement chez toi » (histoire vraie, mes parents peuvent en témoigner, heureusement qu’ils étaient là d’ailleurs) « ah bah vivement que je sorte de l’hôpital pour aller voir Priscilla là au moins je me sentirai aimée » (on s’est pas du tout sentie de trop avec L quand on est allée voir une « camarade » hospitalisée, qui a quand même passé sa première nuit post-op chez moi, et non chez un artiste de Priscilla hein…). Une scène de ménage en plein milieu du Palais des Congrès bondé, parce que j’avais décidé de prendre mes distances avec certaines personnes, pour vivre ma vie et m’occuper de mes ami(e)s trop longtemps délaissés, plus aucun sens des réalités ni du politiquement correct je vous dit !

Des exemples comme ça j’en ai des tas… Et les émotions qui vont avec…

Ça devenait physique, dès que je voyais leur tête, ou leur nom j’avais envie de hurler à la mort.

Et je ne parle même pas des artistes, qui sous couvert de ton admiration se permettent parfois des choses douteuses…

NON on est pas AMIS et c’est valable dans les DEUX SENS !

Je ne veux plus entendre « à demain » à la sortie d’un spectacle, comme s’il était évident que je n’avais rien d’autre à faire et qu’inévitablement je serai là.

Je ne veux plus passer à côté d’un moment avec quelqu’un que j’apprécie parce que « on se voit demain de toute façon« .

Je veux saisir la beauté de l’instantané, les moments uniques.

Je ne veux plus me lasser, je ne veux plus lasser.

J’ai besoin qu’on me respecte comme humain, femme, blogueuse, photographe, danseuse, fidèle certes, mais absolument plus être associée, de près ou de loin aux groupies…

N’écoutant que mon courage (oui oui même si j’ai fait la morte, communément appelé Gosthing au 21ème siècle, il en faut du courage pour admettre qu’on a des comportements inappropriés et casser le schéma), j’ai dit stop.

Enfin j’avais prévenu avant que ça ne m’allait plus de vivre tout ça !! Va falloir que je bosse ma crédibilité maintenant.

Je crois que la goutte d’eau qui a fait du mal à mon petit cœur c’est lorsque quelqu’un que j’admire et aime énormément n’a pas pris le temps de lire les petites choses que je lui avait consacré ici… Peut-être l’a t-il fait entre temps, mais aucun retour… Les artistes, ces gens si occupés…

Sans parler de ce que les « filles » sont capables de faire pour attirer l’attention… mais je n’ai pas envie de revenir la dessus…

Aussi, quand le jour de la dernière de Priscilla, enfin fausse dernière en fait, la tournée a été annoncée entre temps, et courrez-y le bus couleur Lavande fera forcément un stop par chez vous, on m’a proposé d’aller m’aérer dans le Nord pour revoir les chouchous de mon enfance, j’ai accepté, au moins, j’avais une bonne excuse pour ne pas y être…

… Mais ouais, mais nan en fait, parce que la vie est un boomerang. Et qu’en plus des chouchous de mon enfance y avait Indra.

Et c’est quoi le rapport avec Indra ?! Elle nous pète encore un fusible la Sissi….

Bref Indra nous régale avec des chansons dont je ne me souvenais absolument pas, et paf, on sait pas trop ce qu’il lui prend, et elle nous reprend « it’s raining men »…

Mais siiiii tu sais bien, le tableau d’ouverture du spectacle Priscilla Folle du Désert… Bon bah… j’ai pleuré, je me suis figée et personne n’a rien compris, et je n’avais aucune envie de leur expliquer.

Mais le positif de tout ça c’est que j’ai fait du vide autour de moi, et que je me sens mieux.

Mieux entourée, mieux soutenue, et pas juste aimée par intérêt.

Il était… le reste de l’année…

Bon sinon, il s’est aussi passé des choses géniales cette saison (bah oui, libérer du temps et de l’énergie m’a permis de dire oui à pleins de défis) :

Je suis partie (quasiment sur un coup de tête) à New York avec une amie chère à mon cœur dont c’est la ville préférée.

Elle la connait comme sa poche et nous avait préparé un programme aux petits oignons !

Inutile de vous dire qu’en arrivant sur Broadway j’ai pleuré.

Les 48h les plus intenses émotionnellement de ma vie. Et le pire de tout : même pas mal au bidou.

Normal, on s’est pas fiées aux horaires, mais à nos rythmes naturels, on a joué sur le décalage horaire pour profiter un maximum du peu de temps que nous avions.

Entre BlackFriday, Thanksgiving et préparatifs de Noël inutile de vous dire que j’avais l’impression de rêver (et là j’ai des chants de Noël plein la tête…).

Et puis là-bas, du petit déjeuner au moindre recoin, des alternatives sans gluglu (bon le peti dej nous suffisait amplement jusqu’au soir en fait).

Je n’avais jamais été attirée par New-York, trop grand, trop vite, trop tout, trop trop… Mais à force d’entendre ma douce Amie en parler avec passion et tendresse, et, comme elle m’a prise en défaut en me disant : « Ok tu acceptes les défis cette année ? Fais ton passeport… J’ai plongé… Et j’ai laissé une partie de mon cœur là-bas.« 

C’est aussi la saison où j’ai accepté mon premier partenariat, mais vous savez déjà tout ça!

J’en ai aussi profité pour perdre les 10 kilos qui me bouffaient la vie sans le savoir, je me suis inscrite dans une salle de sport, et même que je mets des (vraies) baskets là-bas !!!!

Je suis allée voir pleins de nouveaux spectacles, des pièces de théâtre, des humoristes, des découvertes, j’ai ris, j’ai versé des larmichettes, j’ai découvert des gens et des univers, bref j’ai respiré !

J’ai même repris une (ou deux, ou trois) petite dose d’enfance avec Génération Boys Band et leur presque comédie musicale déjantée, qui visiblement nous réserve encore bien des surprises…

J’ai fêté mes 30 ans à rallonge entourée de gens géniaux, qui m’ont gâtée et choyée une fois de plus.

Un anniversaire de Flaman’corne Rose qui brille. (merci Chloé pour toutes les photos du pique nique), entourée de mes collègues préférées, de mes amies les plus précieuses ainsi que de toutes jeunes et jolies rencontres (pourtant pas gagnées au départ… mais on a dit que c’était de l’histoire ancienne !).

J’ai vraiment apprécié les nouvelles sorties dans une ambiance festive, légère, sans rivalités, sans compétition, sans chercher à attirer l’attention…

Des sorties de la vraie vie, avec de vrais gens, dans des vrais endroits… loin des trottoirs de comédies musicales et des sorties d’artistes.

Bien entendu que j’y retournerai probablement un jour… Mais … pas demain, demain j’ai Aqua Flamant Rose ! Enfin , je mens par omissions, j’ai déjà été traîné mes guêtres (de bloggueuse) à Mogador, pour assister émerveillée aux prémices de la version française de Chicago !

Les vacances d’été n’ont pas été de tout repos. Première fois que je partais en juillet, et je me torturais d’un millions de questions, et de décisions à prendre.

Je me demandais, sans la danse ni les comédies musicales, est-ce que ma vie parisienne avait encore un sens… Retrouver mon amour de lycée en mode amour de vacances ne m’a pas aidé non plus…

Mais en fait si… Le lycée, c’est le lycée… c’est loin, et c’est passé…

Finalement, après un bon break, je suis prête à bouffer cette nouvelle saison, de façon un peu différente.

Je ne reprends pas les cours collectifs de danse, mais je vous ferai un petit article sur le sujet. Danser en groupe ou en solo.

Même si Doum Raks, fin août, s’est révélé être une expérience bénéfique, je crois surtout que c’était parce que j’étais enfin en accord avec moi-même.

Du coup j’ai pu explorer plus à fond mon propre univers et me questionner sur mes envies et besoin personnels (aussi bien vie artistique que privée)

Je ne sais pas encore quand ni comment je reprendrai, j’ai envie de revenir au moderne, ça me manque.

Je suis comme ça, entière de caractère, mais métissée à l’intérieur, avec l’envie de faire pleins de choses, de créer, d’expérimenter, de vivre en électron libre, sans qu’on me mette un étiquette.

Du moment où je me sens coincée dans une case « groupie », « danseuse orientale », « kenouzette », « copine de » … JE FUIS !

J’ai envie de me consacrer plus de temps, de prendre le luxe de choisir ce que j’ai envie de faire et avec qui.

Ne plus me laisser enfermer dans des schémas qui ne me ressemblent pas.

Je continue la salle de sport, ça me fait beaucoup de bien, je vois mon corps changer, devenir ce que j’ai envie qu’il soit, à mon rythme, là aussi je ne me mets pas la pression, histoire de ne pas me dégouter, ni m’enfermer dans la case « fit girl ».

J’ai même réussi à survivre à une rupture sans pleurer. Dimanche soir paaaaf petit message qui met en joie, lundi matin je souriais dans mon cœur, comme si rien ne s’était passé.

Vous voyez, quand on commence à se sentir bien avec soi-même, mais genre pour de vrai, bah on sait laisser partir les gens qui n’ont rien à faire dans (ou n’ont pas réellement envie de faire partie de) notre univers.

J’ai lu des livres, j’ai pris ce temps… Et d’ailleurs ça a fait germer une autre petite idée de nouveauté pour bébé blog.

D’ailleurs parlons-en de mes idées et de mes nouveautés :

Je me suis dit, que sous forme de rendez-vous mensuels, j’allais continuer à vous parler photo bien sûr… Fanfreluches c’est certain…

Mais aussi vous parler d’un livre, d’un spectacle ou d’un film que j’aurai découvert et beaucoup aimé, (même si bien souvent la planète entière aura prit connaissance du phénomène avant moi) sans pour autant en faire une critique Télérama hein (ils font ça mieux que moi).

Et puis un projet photo perso aussi. Qui me tiens à cœur, vous savez à quel point j’aime avoir de nouvelles robes, une pour chaque occasion ou presque…

Mais, la réalité, c’est que je dois pouvoir porter mes vêtements plusieurs fois, et à plusieurs occasions.

Et je voudrai vous montrer que c’est possible, et qu’en cherchant bien on peut adapter 1 pièce à au moins 3 styles (casual, bureau/boulot, rock, chic/soirée etc…). Toutes les pièces ne sont pas adaptables, mais en changeant un accessoire on peut totalement revisiter une tenue !

Et puis, je ne sais pas si vous l’avez déjà remarqué, mais de nouvelles « en-têtes » ornent mes articles depuis juillet. J’avais envie d’harmoniser tout ça, et que les catégories soient encore plus identifiables pour vous !

Et voilà mes Paillettes courageuses d’avoir tout lu ! De votre côté votre rentrée s’est passé comment ?! Des nouveautés ?!

miss sissi hart

 

 

 

ps: je voulais vous mettre pleins de jolies photos, mais ça allait être encore plus long à lire, et vous couper du fil narratif.
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1 réflexion au sujet de “Encore une année de passée”

  1. Être fidèle à soi même c’est le plus important !!
    Ne pas vivre pour et en fonction des autres c’est une nécessité !
    Vis comme tu l’entends : c’est une force 💖
    Ma rentrée est placée sous le signe d’un RDV de carrière… anciennement nommé une inspection donc sous le signe du stress 😜
    Mais je me raccroche aux bonheurs qui arriveront après avec mes 2/3 😍😘💖
    Gros bisous 😘

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